Le procès : Les femmes qui écrivent sont-elles dangereuses ?

Le Parlement des écrivaines francophones a pour objectif de faire entendre la voix des auteures de langue française à travers le monde. Il vise à réaffirmer leur droit de regard sur nos sociétés et leur rôle dans le dialogue civilisationnel. Fondé par l’écrivaine tunisienne Fawzia Zouari et soutenu dès sa création par Leïla Slimani, l’association constitue une plateforme d’échange d’idées, de mise en exergue des littératures féminines et de soutien aux combats des femmes.

Pendant deux jours, le Parlement des écrivaines francophones vient habiter la Cité à l’occasion du Sommet international de la francophonie. De par le monde, les autrices rejoignent Villers-Cotterêts pour proposer trois formats de rencontre avec le public : une discussion, un procès éphémère et enfin un concert littéraire dans la chapelle de la Cité.

Les membres du Parlement des écrivaines francophones installent leur tribunal éphémère sur le perron du château et donnent leur verdict sur une question : les femmes qui écrivent sont-elles dangereuses ? Trois d’entre elles sont sur le banc des accusés tandis que d’autres sont appelées à témoigner sous le regard du Ministère public et de la Présidente du tribunal. Quelle sera la délibération du jury ?

Avec : Marie-José Alie, Fawzia Zouari, Emeline Pierre, Carole Fréchette, Frédérique Lantieri, Sedef Ecer, Viktor Lazlo, Cecile Oumhani, Hyam Yared, Catherine Cusset, Marie-Rose Abomo-Maurin, Chahla Chafik et et Emna Bel-Haj Yahia
 

Retrouvez les autrices du Parlement des écrivaines francophones le 5 octobre à 16h pour la rencontre « La Francophonie au féminin » et le dimanche 6 octobre à 18h30 pour le concert littéraire « Journaux intimes au féminin ».