J’aime / انا احب / I Love, de Marie Khouri

Exposition à venir

D'étranges formes blanches ont pris place sous le ciel lexical de la Cité... Approchez-vous pour en découvrir le sens !

  • Gratuit, en accès libre

  • Tout public

  • L'installation est présentée dans la cour du Jeu de Paume, sous le ciel lexical. 

J'aime : peut-être le mot qui manquait au ciel lexical...

Après avoir côtoyé les pyramides de Gizeh, les sculptures de l’artiste égyptienne Marie Khouri s’installent sous le ciel lexical. 

Mais quelle forme représentent ces étranges sculptures blanches sur lesquelles les visiteurs peuvent même venir s'asseoir ? Chacune représente un caractère arabe et, ensemble, elles écrivent le mot « J’aime ».  

Comme un miroir aux lettres latines accrochées à la verrière de la Cité internationale de la langue française, la calligraphie arabe suggère un dialogue interculturel. Composée de cinq formes curvilignes sculptées à la main, l’oeuvre transforme l’expression arabe « J’aime » en une expérience physique pour les visiteurs invités à s’y reposer, à y méditer… 

Et si vous preniez de la hauteur pour mieux l’observer ? Depuis la galerie attenante à la chapelle, vous pourrez mieux voir le mot composé par les sculptures !

En partenariat avec l’Institut du monde arabe

Les langues arabes à la Cité

« Il faut absolument comprendre l’arabe pour comprendre le monde » dit Rabelais. Aujourd’hui, l’arabe est la deuxième langue parlée en France et la Cité lui fait hospitalité. Sur plusieurs mois et le temps d'une journée, la Cité organise colloques et lectures pour des rencontres riches autour de cette langue. 

Colloque et lecture-spectacle le 24 janvier

De 11h à 17h, assistez au colloque Kateb Yacine, la voix indomptée de la langue avec Benjamin Stora (historien), Tassadit Yacine (anthropologue) et Hafid Adnani (journaliste et chercheur). Artistes, penseurs et chercheurs réfléchissent à partir de l’œuvre du grand écrivain Kateb Yacine, poète, romancier et essayiste algérien.

Juste après, à 17h, ne loupez pas la lecture-spectacle « Kateb en scène » avec des textes extraits de Nedjma, Le Cadavre encerclé, L’Homme aux sandales de caoutchouc interprétés par Mohamed Kacimi et Virginie Aimole (comédienne), accompagnés au oud et à la percussion.

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