Balades contées : Promenons-nous dans les bois

Insolite

À la tombée de la nuit, un conteur vous embarque dans ses histoires au cœur de la forêt !

Une personne se promène de nuit dans la forêt avec une lampe-torche
  • Vendredi 24 octobre et dimanche 26 octobre 2025
    19h30

  • Tarif plein : 10 €
    Tarif réduit : 5 € (étudiant, demandeur d’emploi, minimas sociaux, AAH, moins de 25 ans)

  • À partir de 8 ans

  • Durée : 1h30

    La balade débute côté parc : rendez-vous devant la grille de la Cité (accès Nord).
    Pour le bon déroulé de la balade, merci de vous munir d’une paire de chaussures confortable et d’une lampe (torche ou frontale) par personne.

  • Réservez vos billets

La nuit, les contes prennent vie !

À la tombée de la nuit, munis de tes baskets et ta lampe-torche, suis le guide vers le couvert boisé de la Cité et tends l’oreille : on te raconte des histoires ! Certaines font peur, d’autres moins, mais une chose est sûre : le conteur Olivier Cariat te ramènera au point de départ, c’est promis !

On dit que les balades sont propices aux rêveries. Les pieds occupés, les sens sont en éveil. Les yeux s'ouvrent, prêts à voir ce qui habituellement est invisible, les oreilles sont, elles aussi, toutes grandes ouvertes. Un causeur t’aide alors à apercevoir ces détails qui sont prétexte à histoires : tout se raconte, tout s'explique. Tout ce qui se dit est sûrement vrai car les conteurs sont tous des menteurs, mais ils ne mentent jamais !

En partenariat avec l’Office national des forêts

À propos du conteur

Olivier Cariat aime les mots bruts, les dévoiler et les partager avec simplicité, tel un peintre qui n’exposerait que ses croquis Il en dit peu pour nous laisser imaginer ce qu’on entend pas. Homme de la terre, amoureux des villages, il y trouve ses histoires ; il tire ses mots du quotidien, se plait à les servir dans la rue pour que sa parole surgisse impromptue au milieu des hommes. C’est un harangueur, un fougueux diseur de mots, un gaillard hirsute plein d’humour et de tendresse, qui n’hésite pas à s’interrompre pour humer le parfum de la pluie sur l’herbe rase.